Le virus de la rupture...
«L’activité est bonne ! Ce qui nous pénalise le plus, c’est le manque de matières premières et surtout le risque réel de rupture.» À l’instar de ce professionnel meurthe-et-mosellan du Bâtiment version second œuvre, l’ensemble des secteurs doit aujourd’hui faire face à une pandémie de manque cruel de matières premières.
Avant la rupture, qui apparaît inévitable pour certaines matières, ce sont les délais d’approvisionnement qui s’allongent. Ce même professionnel a vu sa commande d’un nouveau chariot élévateur afficher un délai de... 52 semaines ! Le manque et la carence s’installent. La semaine dernière RTE, le gestionnaire du réseau français de transport de l’électricité, a appelé les habitants de la région à co...