3 questions à Bernard Bourrier, président d’Autovision
Un millier d’emplois sont à pourvoir dans l’univers du contrôle technique dans l’Hexagone. De passage en Lorraine la semaine dernière, le président d’Autovision (premier réseau de contrôle technique créé en 1992) tire la sonnette d’alarme à l’heure où des nouvelles missions apparaissent.
À l’instar de bon nombre de professions vous faites face à un manque de main-d’œuvre qualifiée, quelles en sont les raisons ? Nos métiers sont méconnus. Les jeunes diplômés de l’automobile n’ont pas forcément connaissance des opportunités qu’offrent nos centres de contrôles techniques. À ceci s’ajoute une pyramide des âges où les dirigeants de centres arrivent à l’âge de la retraite. La relève n...