Un monde qui ne tourne pas rond...
«Il n’est pas normal que les clubs riches perdent de l’argent pendant que dans le même temps les petits en gagnent...». Ces mots ont été prononcés il y a quelques jours par Florentino Pérez, 9e fortune d’Espagne et président du Real Madrid, le club de football le plus puissant d’Europe.
Le dirigeant espagnol s’exprimait dans le cadre d’une interview où il revenait sur la création avortée de son projet de Super League. Comprenez une compétition qui aurait réuni les douze clubs les plus cotés du continent, d’Angleterre, d’Espagne et d’Italie, ceux générant le plus d’attractivité et de revenus publicitaires. Les plus endettés souvent également. Le sport roi est devenu un géant mondi...