Le «Made in France» ouvre les appétits étrangers
Les fleurons de l’économie nationale aiguisent de plus en plus les investisseurs étrangers. Le feuilleton du rachat de la branche énergie d’Alstom met à mal la notion même de «Made in France». Après l’entrée dans le capital du groupe PSA Peugeot Citroën du constructeur automobile chinois, Dongfeng, le mariage en béton du suisse Holcim et du français Lafarge, les rois du ciment mondial, le «Made in...