Clubs féminins : la porte est ouverte aux hommes
Le phénomène va crescendo depuis une quinzaine d’années. Nombreuses sont les femmes qui décident d’intégrer un réseau pour dynamiser leur carrière et agrandir leur carnet d’adresses. On voit aussi fleurir des clubs d’affaires 100 % féminins. Ces cénacles sont-ils ouverts aux hommes ? D’un féminisme modéré et souvent légitime, ne bascule-t-on pas parfois dans une forme de sexisme inversé ? Éléments de réponse souvent en décalage avec les idées reçues. Hommes, femmes, même combat…
500. C’est le nombre de clubs et réseaux d’affaires exclusivement féminins en France. C’est une goutte d’eau dans le total hexagonal de ces regroupements issus de la sphère d’entreprise qui avoisine les 10 000. N’empêche, l’essor est en marche. Cadres, élues, anciennes des grandes écoles, dirigeantes de sociétés, néo-entrepreneuses, startupeuses, banquières, architectes, avocates, fonctionna...